L’importance de la motivation

Au départ de la formation, l’apprenant adulte est animé par le souhait de découvrir des choses nouvelles. Il s’y greffe une volonté contradictoire de montrer ses compétences et l’espoir d’exploiter les acquis futurs éventuels en complément de ce qu’il connait déjà.
Sa réticence vient du fait qu’il est convaincu de connaître le sujet et qu’il considère la formation comme superflu. Ce n’est pas rare dans ces conditions de voir se former des groupes d’apartés où on va parler des dents du petit dernier ou de la performance de l’équipe au dernier match. A ce moment, si le formateur ne dispose pas du charisme suffisant pour maintenir encadré le groupe, il y a beaucoup de risque d’échec.
Il y a donc intérêt à bien cerner la motivation des adultes en formation et adopter en fonction de leurs attendus une méthodologie adéquate.

Les avantages de la méthode active

L’essentiel dans une formation d’adulte repose dans l’identification des besoins de formation. Ces besoins traduisent l’écart entre les compétences dont il dispose déjà et celles que nécessite la réalisation de son activité professionnelle. Un professionnel à qui on explique les bases de son métier montrera assurément son désintérêt de la formation, à moins que le formateur ne lui donne l’occasion de montrer aux autres participants son savoir-faire. Cette formation active fait « réviser » les bases à celui qui intervient tout en permettant de rectifier les éventuelles erreurs d’interprétation qui, à force d’être utilisées, deviennent progressivement convictions dans la tête.
Le formateur doit faire attention à la mise en œuvre de la méthode démonstrative par laquelle il veut que le formé adopte un raisonnement logique. La méthode en soi peut être efficace si le formé accepte de réfléchir au raisonnement en question. Mais en général, il refuse à priori de s’y conformer.

Les études et l’état d’esprit pour faire cette carrière

Ce métier consiste à gérer et à être responsable d’une équipe dans n’importe quel domaine. Les tâches d’un manager ne sont alors pas une mince affaire. Cela demande de la motivation et de l’endurance. La gestion d’une équipe n’est pas en effet très facile. Vous pouvez d’ailleurs trouver un manager dans plusieurs domaines. Ils sont vus dans la restauration, la communication, la vente et bien d’autres. Ainsi, pour pratiquer ce métier, vous devez avoir de bonnes stratégies et des projets dans votre carrière. Vous devez également être titulaire d’un BTS manager. La détention d’une licence en management est aussi nécessaire. De plus, vous devez obtenir le diplôme de Master spécialisé en management. Cela permet de vous ouvrir les portes dans votre carrière. En outre, un stage serait important pour augmenter les compétences et les expériences.

Les caractéristiques et les fonctions d’un manager

Un manager doit être capable d’assumer ses responsabilités en toutes circonstances. Son objectif est alors de faire respecter les règles et d’ordonner les équipes. Un manager doit également fixer un but à atteindre. Il doit aussi avoir un excellent sens de l’organisation pour avoir la meilleure des résultats. En outre, un bon manager doit toujours être à l’écoute des clients et des employés. C’est en effet nécessaire pour les comprendre. Ainsi, un manager doit avoir une grande complicité et un lien intense avec son équipe ou ses clients. De plus, il doit être capable de gérer chaque situation. Il peut diminuer les tensions en cas de conflit, par exemple. L’expérience et la compétence sont de même essentielles dans la pratique du métier de manager.

Qu’apprendrez-vous avec cette formation et quels sont les débouchés ?

La plupart des écoles mettent à disposition sur leur site officiel le programme des cours proposés. Donc, avant de vous inscrire dans une école particulière, prenez le temps de visiter son site pour observer le programme proposé et voir s’il répond bien à vos attentes. Est-ce que les objectifs éducatifs présentés sont adaptés à vos compétences, votre parcours et le savoir-faire que vous envisagez d’acquérir ?

Puis, est-ce que les débouchés de la formation concordent bien à votre projet professionnel ? Vous devez bien examiner les métiers que vous pouvez exercer après la formation. Il est important de ne pas se tromper de profession. Par exemple, il ne faut pas confondre le métier de cinéaste et de producteur télé ou la fonction d’artiste et d’administrateur d’un centre culturel. Pour être sûr de votre choix, n’hésitez pas à faire des échanges avec d’anciens étudiants ou des responsables pédagogiques.

Le diplôme est-il reconnu et qu’en est-il des stages et des formations en alternance ?

Avant de vous inscrire dans une école pour obtenir un Master, il est aussi recommandé de vous informer sur la crédibilité du diplôme. Est-ce qu’il est reconnu par l’État et à l’échelle internationale ? Ensuite, est-ce que l’établissement propose des stages ? Quelle est leur durée et à partir de quelle année ? Les étudiants sont-ils accompagnés dans la recherche des stages ? Est-ce que la formation s’appuie sur un réseau d’institutions partenaires ? Toutes ces questions sont importantes pour être sûr de choisir la bonne formation et garantir un bon avenir professionnel.

N’oubliez pas de demander si l’établissement offre des formations en alternance, ce qui vous permettra d’acquérir en plus des cours théoriques, des expériences professionnelles auprès d’une entreprise. Si vous cherchez une excellente formation pour obtenir un Master, cliquez ici pour rejoindre Audencia. Cet établissement vous propose sept programmes de Mastère qui sont labellisés par la Conférence des Grandes Écoles et qui ont été spécialement créés pour répondre aux besoins du marché et des entreprises.

Recenser les besoins en formation du personnel

En premier lieu, il faut connaitre les besoins des employés en termes de formation. Pour cela, il faut recenser les niveaux de compétences en tant qu’individu et en tant qu’équipe. Il est mieux de faire cette analyse en tenant compte des formations effectuées dans l’année précédente. Cette étape nécessite la collaboration avec les responsables de chaque département. C’est seulement après ce recensement que le responsable RH pourra sélectionner les formations requises.

Choisir les formations adéquates

Les données obtenues après le recensement des besoins des salariés en matière de formation doivent être analysées. Elles serviront à choisir les formations nécessaires pour le personnel en tenant compte de l’orientation stratégique de l’entreprise. En effet, on peut classer ces besoins selon ce qui est prioritaire ou urgent afin d’accomplir l’orientation stratégique de l’entreprise. En général, il s’agit de l’amélioration du soft skills ou du hard skills du personnel. Le soft skills regroupe les compétences individuelles des salariés. Tandis que hard skills développe plutôt les compétences techniques.

Mettre au point un budget de formation

Il faut mettre en place le budget permettant de financer la formation pour le personnel. L’exécution d’un plan de formation génère des dépenses. En plus des dépenses liées aux besoins des formateurs (déplacement, restauration, hébergement, etc.), il y a aussi celles des employés qui bénéficient d’une allocation de formation. D’autant plus que les formations du personnel se passent à l’extérieur le plus souvent. Bien qu’une partie des frais de formation du personnel puisse être prise en charge par l’OPCA, l’entreprise doit également payer sa part. Par ailleurs, il est possible de solliciter des aides publiques pour financer une formation du personnel.

Assurer l’exécution du plan de formation

Il faut mettre en œuvre le plan de Formation pour le personnel. Afin d’en assurer le suivi, il est mieux de tout planifier dans un tableau récapitulatif. Il est nécessaire que les employés soient au courant du plan de formation mis en place. Il est important de suivre le planning établi à l’avance, mais il faut également anticiper d’éventuels changements en cours de route. Le responsable RH doit savoir adapter le plan de formation initiale en fonction de ces changements. Une fois que tout est exécuté, il est aussi intéressant pour l’entreprise de faire un bilan de l’après-formation.

Adopter une technique de révision plus efficace

Quel que soit l’établissement de formation choisi, les épreuves écrites sont obligatoires lors du concours pour intégrer une grande école. Cela concerne entre autres la préparation à un test de connaissance impliquant une préparation qui nécessite une révision en masse. Pour s’organiser dans cette révision dans ce cas, une phase de sélection des savoirs à acquérir est obligatoire. Cela permet de trier et d’apprendre les essentiels. La création d’un planning de révision est indispensable afin d’être parfaitement organisé durant ces préparatifs. Toutefois, même si les révisions en groupe sont souvent considérées comme efficaces, il est également nécessaire de réaliser des programmes de révision « en solo » pour garantir sa réussite lors d’un examen d’admission dans les grandes écoles. 75 % du temps du candidat doit être consacrés aux révisions individuelles contre 25 % pour travaux collectifs.

Miser la barre la plus haute possible pour garantir un excellent résultat

Il ne s’agit pas d’un simple examen de classe. Un concours d’admission dans une grande école nécessite un niveau beaucoup plus élevé. Tel un athlète qui doit parcourir 100 mètres, chaque minute compte dans les révisions. Pour réussir le concours, avoir la moyenne sur chaque épreuve n’est pas suffisant. Le nombre des admis est limité et les grandes écoles ne sélectionnent que les meilleurs. La réussite est avant tout une question de mentalité. Le fait de sous-estimer ses capacités peut avoir un impact sur ses chances de réussite. Le fait de viser toujours plus haut et de ne pas avoir peur d’affronter les épreuves permet de briller durant les concours. Chaque étudiant a la chance d’intégrer une grande école à condition qu’il le souhaite réellement. En d’autres termes, vous devez être motivé et viser la meilleure note possible dans l’examen écrit, durant l’oral, mais aussi dans la formulation de votre lettre de motivation et votre entretien individuel ainsi que lors du test psycho. Ce sont autant d’épreuves qu’il faut préparer pour être admis en grande école.

Des établissements universitaires de renoms

De grands établissements de renoms sont basés à Lyon et la plupart d’entre eux figurent parmi les universités qui proposent les meilleures formations, toutes disciplines confondues, dans toute la France. Vous avez, par exemple, l’université Claude-Bernard située à Lyon 1 qui propose des cursus dans des secteurs variés tels que la santé, le sport, la technologie et la science. Il y a également l’École Normale Supérieure qui attire pas moins de 8 300 inscrits tous les ans. Ceux qui désirent se lancer dans l’agronomie et l’alimentation peuvent se tourner vers l’ISARA. C’est aussi à Lyon que se trouve la Ciné Fabrique et bien d’autres encore.

Différentes options de logements étudiants

Les étudiants qui désirent poursuivre leurs études dans la capitale des Gaules peuvent compter sur le CROUS pour leur proposer des résidences étudiantes de qualité. Comme cette solution est souvent la plus plébiscitée par les étudiants, il peut être compliqué d’y réserver un logement. Qu’à cela ne tienne, pour mieux se loger, il reste encore d’autres solutions d’hébergement pour étudiant à explorer. La location de studio est à envisager. En moyenne, pour une surface habitable de 42 m², le prix de la location d’un studio avoisine les 630 €. Pour un petit logement de type T1 ou un studio d’environ 25 m², le tarif moyen s’élève à 485 €. Notez que ces prix varient également suivant les quartiers. Pour jouir d’un logement plus grand à tarif réduit, les étudiants ont souvent recours à la colocation. Il est toujours possible de vivre chez l’habitant. Certaines personnes âgées proposent la location d’une chambre afin d’y accueillir des étudiants durant l’année.

De nombreuses opportunités professionnelles

Lyon représente un pôle économique fort qui permet aux jeunes diplômés de trouver des opportunités de travail assez rapidement. En sa qualité de deuxième pôle de l’économie française, le taux de chômage dans la ville reste relativement bas. Différents établissements y sont établis et les secteurs d’activité sont tout aussi variés. Le tourisme, le numérique, la santé, et bien d’autres encore sont concentrés dans ce bassin d’emplois. Ceux qui désirent créer leurs entreprises peuvent tout aussi bien tenter leur chance dans la ville lyonnaise.

Les types de formations

Le choix est assez pléthorique lorsqu’il s’agit de trouver une formation orientée dans le secteur de la mécanique. Vous pouvez faire votre choix en fonction de votre niveau d’études. Mais, vous pouvez également baser votre choix en fonction de la modalité : longue durée, courte durée, etc. Dès lors, il est possible d’accéder aux métiers de la mécanique en préparant un CAP maintenance des véhicules automobiles, un CAP mécanique, un BTS, une licence pro en mécanique ou encore un master en mécanique. Outre cela, il existe des formations qui peuvent être adaptées pour les adultes. En effet, ce n’est pas qu’on a un âge assez avancé qu’on ne peut plus se former aux métiers. Il existe certaines écoles et certains CFA qui proposent des programmes de formations qui ont été spécialement conçus pour cette catégorie de personne.

Les points distinctifs des formations en mécanique

Toutes les formations qui préparent aux métiers de la mécanique sont généralement constituées d’une partie théorique et d’une partie pratique. Puis, il est fortement recommandé de faire valider les formations par des apprentissages. À cet effet, les cursus de formations doivent obligatoirement comprendre des périodes de stage. L’objectif est de permettre aux étudiants d’en connaître davantage et de se familiariser, d’ores et déjà, aux éventuelles tâches qu’ils devront accomplir dans leur future profession.

Les débouchés en mécanique

Le marché de la mécanique est assez large. Les débouchés varient alors, principalement, en fonction de la nature et du type de diplôme dont vous êtes titulaire. Les entreprises au sein desquelles vous pourrez exercer votre métier sont aussi très nombreuses. Vous pouvez, par exemple, travailler au sein d’un concessionnaire, dans une société d’automobile, dans un garage, dans un atelier, etc. Aussi, les postes que vous pourrez occuper sont très diversifiés. Vous pourrez entre autres être un mécanicien de maintenance, un chef d’atelier, un carrossier, un contrôleur technique, un garagiste, un électronicien, un ingénieur en industries mécaniques, etc.

Les niveaux requis pour l’Armée de Terre et la Marine nationale

L’armée recrute continuellement, et les conditions d’entrée diffèrent pour chaque branche. Généralement, la Marine, l’Armée de Terre et la Gendarmerie nationale sont moins exigeantes que l’Armée de l’Air. Pour intégrer l’Armée de Terre, le candidat doit avoir au moins 18 ans et tout au plus 32 ans. Elle n’exige pas forcément de qualification particulière. Tout dépend du poste convoité. Aucun diplôme pour être un maître-chien et au minimum un baccalauréat pour devenir météorologue. La Marine nationale cible, à son tour, les jeunes de 16 à 29 ans. Pour être mousse, un niveau 3ème est requis tandis qu’un bac est suffisant pour occuper le poste d’un matelot de flotte. Vous pouvez devenir un officier marinier à partir d’un bac à bac+2, puis officier si vous avez un bac+3.

Les diplômes pour l’Armée de l’Air et la Gendarmerie nationale

L’Armée de l’Air est accessible aux jeunes à partir de ses 17 ans, mais avec une limite d’âge de 30 ans. Le niveau diffère pour chaque poste : bac professionnel pour un militaire technicien de l’air, bac pour un logisticien et un niveau 3ème pour un agent du bâtiment. À la Gendarmerie, plusieurs postes sont à pourvoir, dont officier de gendarmerie, officier du corps technique et administratif ou encore motocycliste. Les deux premiers postes exigent un bac+2. Pour le dernier, vous devez avoir le bac en poche. N’attendez pas toutefois d’avoir un diplôme pour postuler. Actuellement, il existe des programmes de formation ainsi que des stages de remise à niveau.

La technologie numérique versus la réalité du terrain

Fracture numérique, ce mot désigne la disparité entre différentes régions ou classes sociales vis-à-vis du numérique. Croire que le monde digital s’est effectivement généralisé serait une erreur monumentale. En France, de nombreuses entreprises peuvent encore se passer du web dans leur modèle d’affaires. C’est en partie à cause de la formation reçue par leurs dirigeants. Ces chefs d’entreprise de la vieille école continuent de croire que Facebook reste une perte de temps. Heureusement, la transition numérique est bien en marche dans l’Hexagone. Les établissements de formation sont impliqués dans ce phénomène. Beaucoup d’entre eux se sont résignés à revoir leurs programmes. Il est loin le temps où les CDI (centre de documentation et d’information) avaient un parc informatique avec des ordinateurs obsolètes. Désormais, les écoles et les institutions éducatives ont compris qu’il faut suivre le rythme. Traiter avec la génération Z ne leur laisse aucun répit. Ces millénials savent manipuler une tablette avant même de pouvoir articuler une phrase. Les enfants de l’an 2000 ont une grande capacité à comprendre et à maîtriser les nouvelles technologies. C’est normal puisqu’ils sont nés en même temps que les meilleures versions de Windows. Ils ont grandi avec la PlayStation, Facebook et le téléphone portable. Le Smartphone n’a aucun secret pour eux. Il reste aux éducateurs à transformer cette prédisposition en choses utiles.

Que les matériels informatiques et numériques restent des outils

Les enjeux de l’informatique sur la formation et l’éducation en générale ont fait l’objet de nombreuses réflexions poussées de la part des parties prenantes. Les grands groupes tels que Microsoft martèlent que les méthodes pédagogiques devraient garder un certain recul vis-à-vis du numérique. Tous ceux qui sont concernés par l’éducation estiment aussi qu’il faudra adopter une vision critique pour éviter toutes les formes de dérives possibles. Puis, les professionnels maintiennent leur position : la technologie doit rester un outil comme l’ont été les livres ou les tableaux. Ce serait dommage que le numérique prenne le dessus et accapare trop de temps. Puis, il y a la question du cœur de l’apprentissage. Les jeunes doivent apprendre à se servir des packs bureautiques. Ils devront aussi s’amuser sur des programmes ludo-éducatifs. Cela dit, il ne sera pas question de leur apprendre à coder ou à s’initier à la programmation, même s’il faudra bien que quelqu’un prenne le relais. Quoi qu’il en soit, la transition numérique reste un sujet qui angoisse les parents et les éducateurs. En effet, il est pratiquement impossible de priver ses enfants de Smartphone alors que tous les copains en ont un. C’est davantage les adultes qui doivent suivre des stages pour apprendre comment gérer la situation… Quant aux formateurs et les responsables des centres de formation professionnelle surtout, ils doivent utiliser un logiciel pour centre de formation comme alcuin, afin d’organiser les cours, optimiser le planning des formations, faire un meilleur suivi des absences des enseignants, etc.

Des formations selon votre filière

Si vous avez besoin de conseils pour chercher une formation, notez que de manière générale, il existe des formations spécifiques pour les scientifiques comme la chimie, les sciences de la vie, les mathématiques et le génie civil. Si vous avez un bac scientifique, vous pouvez également intégrer les écoles Polytechniques, les écoles d’architecture ou les écoles d’Arts et Métiers. Généralement, l’intégration à ces formations se fait le plus souvent sur concours que sur dossier de candidature. Vous devez avoir des résultats scolaires cohérents. Les bacheliers de filière ES sont pour leur part orientés vers les études à l’étranger ou les instituts d’études politiques français. Leur vocation est le monde des affaires à l’international. Pour intégrer une grande école de commerce, vous devez avoir des compétences en droit, en économie et en linguistique. Enfin, les bacheliers de filière L sont plutôt forts en littérature et langues étrangères. Ils suivent le plus souvent des formations en arts appliqués, en communication et journalisme, en littérature, langues et civilisations étrangères.

Pourquoi suivre des prépas après le bac ?

L’entrée dans les grandes écoles de commerce après le bac se fait soit par dossier de candidature, soit par concours. Dans tous les cas, l’admission et la sélection sont rudes. Le premier avantage de suivre une prépa est donc d’augmenter votre chance d’intégrer ces grandes écoles puisqu’elles recrutent très peu de candidats hors prépa. Puis, il faut préciser que les programmes dispensés en prépa sont généralistes. Ils vous ouvrent la porte à de nombreuses formations après le bac. Puis, si vous ne souhaitez pas poursuivre des études en commerce, vous pouvez obtenir une équivalence de vos deux ans de formation en prépa pour un cursus universitaire. Il s’agit d’une attestation de parcours de formation et des ECTS ou European Credits Transfer System. Ceci vous permet de poursuivre vos études dans d’autres universités. Vous n’avez pas perdu inutilement vos deux ans de formation puisque les semestres passés seront validés pour intégrer une filière autre que le commerce à compter de la troisième année. Par ailleurs, plusieurs établissements publics et privés proposent actuellement des classes préparatoires aux grandes écoles. Vous pouvez aussi trouver sur le site de pge-pgo.fr des stages intensifs pour vous préparer au concours d’entrée dans les grandes écoles. Vous pouvez alors suivre deux ans de stage sans quitter la maison de vos parents. Ce qui vous permet de réaliser de grandes économies pour financer vos études à l’université prochainement.